Publié le 16/05/2013
Histoire belge : pour une question linguistique, le parlement flamand viole les droits moraux d’un auteur
Choqué par la présence de mots en Français dans une planche originale de BD exposée au parlement flamand, son président fait retoucher la reproduction de la planche sans l’accord de l’auteur. Pour paraphraser Molière, « Couvrez ce Français que je ne saurais voir ; Par de pareils objets, les âmes sont blessées ».